Le marché serait-il immoral ? Pourtant il apparaît comme le moyen le plus efficace d’organiser les échanges entre agents économiques. Peut-on alors dire qu’il contribue au bien commun ? Mais on voit bien qu’il ne peut pas tout faire. Et que ses résultats dépendent des valeurs et priorités de ceux qui y participent. Le marché serait-il un simple outil ? > Lire le Cahier