On a progressé dans l’exigence d’investissement éthique, dans la pratique comme dans la réflexion. Celle-ci a été rassemblée dans un cadre quasi officiel sous le triptyque « environnement, social, gouvernance » ou ESG. Dans l’optique de la Doctrine Sociale de l’Eglise, on ne peut qu’approuver ces préoccupations. Mais peut-on se contenter de cet ESG ? Jusqu’où doit aller la réflexion en matière d’investissement éthique ?