L’investisseur a une vocation propre et son acte d’investir a une dimension morale, quant à sa finalité et quant aux moyens utilisés. L’investisseur est aussi confronté à des tentations et est donc appelé, pour y résister, à une permanente conversion intérieure, qui exige de sa part un combat moral et spirituel. Pour être à la hauteur de sa mission et de ses enjeux, l’investisseur peut-il se passer de spiritualité ?